a commission du suivi-évaluation de la mise en œuvre des contrats d’objectifs et de performance 2023, poursuit son programme avec les directions du MEDD.

Après la direction nationale des pollutions, nuisances et changements climatiques, la commission a évalué ce mardi l’office Guinéen des Parcs et Réserves de faunes( #OGPRF), et la direction nationale des forêts et faunes
(DNFF). Sur instruction de madame la ministre de l’Environnement et du Développement Durable, Hadja Safiatou DIALLO, Monsieur le Secrétaire Général, Dr Karim SAMOURA, veille au bon déroulement de cette opération d’auto-évaluation. Selon, lui, la première direction (#DNPNCC) évaluée a présenté de bons résultats pour l’atteinte des objectifs du contrat de performance de madame la ministre, au compte du premier trimestre.
#𝗠𝗘𝗗𝗗 #évaluation

Mécanisme d’auto-évaluation du MEDD.

Trois mois après la signature de leurs contrats de performance, les directions et services du #MEDD entament la phase d’évaluation du premier trimestre. Ce processus d’évaluation technique mené par une commission spéciale vient vérifier la mise en œuvre des engagements pris par ses directions dans leur contrat de performance en matière d’objectifs fixés, d’activités à réaliser et des indicateurs à présenter synonymes de preuves d’exécution. 𝗟𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗶𝘁𝗲́ 𝗱’𝗲́𝘃𝗮𝗹𝘂𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘀𝘁 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗼𝘀𝗲́ 𝗱𝗲 𝗰𝗶𝗻𝗾 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗲 𝗦𝗲𝗰𝗿𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗗𝗿 𝗞𝗮𝗿𝗶𝗺 𝗦𝗔𝗠𝗢𝗨𝗥𝗔, 𝗹𝗲 𝘃𝗶𝗰𝗲-𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝗿 𝗽𝗿𝗶𝗻𝗰𝗶𝗽𝗮𝗹 𝗦𝗲𝘆𝗱𝗼𝘂 𝗕𝗮𝗿𝗶 𝗦𝗜𝗗𝗜𝗕𝗘́, 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝗿 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲́ 𝗱𝘂 𝗗𝗲𝘃𝗲𝗹𝗼𝗽𝗽𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗗𝘂𝗿𝗮𝗯𝗹𝗲 𝗣𝗮𝘂𝗹 𝗞𝗮𝗺𝗮𝗵𝗲𝘃𝗲́ 𝗚𝗨𝗜𝗟𝗔𝗩𝗢𝗚𝗨𝗜 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗕𝗦𝗗, 𝗱𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗲 𝗗𝗚𝗔 𝗬𝗼𝘂𝗴𝗮 𝗗𝗢𝗥𝗘́. 𝗦𝘂𝗿 𝗶𝗻𝘀𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗺𝗮𝗱𝗮𝗺𝗲 𝗹𝗮 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗛𝗮𝗱𝗷𝗮 𝗦𝗮𝗳𝗶𝗮𝘁𝗼𝘂 𝗗𝗜𝗔𝗟𝗟𝗢, c’est par la direction nationale des pollutions, nuisances et changement climatique que le MEDD commence cette évaluation interne. Le premier responsable de cette direction Mr Ibrahima Sory CISSÉ était accompagné du point focal de la Contribution déterminée nationale de la Guinée Mr Sékou Fodé CAMARA ils ont présenté au comité, pour évaluation le bilan trimestriel de leurs activités.
Du recensement et de la mise à jour des établissements jusqu’au respect de la CDN de la Guinée tout à été passé en revue.
Pour rappel,
👉25 structures sont concernées par cette évaluation à Conakry et à l’intérieur du pays.
👉15 contrats de performance plus 10 additionnels sont établis et feront l’objet d’un suivi rigoureux pour atteindre les objectifs du département en charge de l’environnement et du développement durable.

Réunion technique : Des démarches innovantes pour la réalisation des actions fortes du département.

Les cadres conviés à la réunion technique ont débattu principalement des activités en lien avec l’atteinte des objectifs du contrat de performance de madame la ministre, Hadja Safiatou DIALLO.
Démarrage demain vendredi du programme du suivi-évaluation des contrats de performance des directions. La direction des pollutions nuisances et changements climatiques recevra l’équipe des évaluateurs composée de le conseiller principal, Seydou Bari SIDIBE, celui-ci chargé du Développement Durable, Paul KIMAHEVE, et la direction du Bureau de Stratégie et du Développement.
Le Secrétaire général, sur instruction de madame la ministre, a mis un accent particulier sur la protection des zones de mangroves avant de déplorer les menaces grandissantes qui pèsent sur cet espace. Dr @KarimSAMOURA, a instruit les cadres à la collecte de toutes les informations sur les milieux marins pour que le MEDD, dispose d’une banque de données permettant d’élaborer des plans de protection de l’écosystème du littoral. Objectif, freiner les conséquences négatives de destruction causées en grande partie des occupations anarchiques à travers l’urbanisation dans la zone sud des côtes guinéennes.
Propositions de solutions de la ministre annoncées par monsieur le secrétaire général :
élaboration d’une note technique sur la structure de la mangrove en guinée ;
Implantation des plaques identifiant les domaines publics et maritimes (DPM) ;
Implantation des PA ;
faire un inventaire des forêts de mangrove et
la réalisation d’une grande campagne d’information et de sensibilisation des populations et décideurs.
Dans le cadre de la mise en œuvre rapide et efficace du projet de gestion des ressources naturelles des mines et de l’environnement, le secrétaire général a décliné une liste d’activités proposée par l’unité de gestion de la Banque Mondiale à réaliser dans les semaines à venir.

MEDD : Vers l’élaboration de son cadre de dépenses a moyen terme (CDMT)

C’est dans cette optique qu’une délégation du ministère du Budget a effectué une visite de travail ce jeudi au département de l’environnement. Une rencontre présidée par le secrétaire général, Dr Karim SAMOURA, en compagnie du Chef de Cabinet, des cadres du BSD, ceux de la direction administrative et financière, le responsable des passations de marchés et le directeur de l’OGUIB.
L’objectif, de cette visite de travail consistait à appuyer le MEDD, à l’élaboration des cadres de dépenses à moyen terme (CDMT), ce pour renforcer la cohérence entre les processus de planification et de budgétisation. Il s’agira pour le département, de se doter d’un (CDMT), pluriannuel,𝟮𝟬𝟮𝟰-𝟮𝟬𝟮𝟲. Le cadre de dépenses à moyen terme (CDMT), qui est une approche de gestion de résultats, doit conduire les directions à décliner des ambitions réalistes et réalisables en vue de trouver des moyens d’atteindre les objectifs antérieurement fixés.
Des ambitions exprimées seront programmées par le Bureau de stratégie et du développement (BSD), vers la budgétisation par la direction des affaires administratives et financières. Le secrétaire général, Dr Karim SAMOURA, a au nom de madame la ministre instruit l’équipe du #MEDD, de se mettre à la disposition de l’équipe du budget dans un cadre de collaboration afin d’élaborer le (CDMT) du MEDD.
La mise en place d’une cellule (CDMT), pour l’atteinte des objectifs réels du MEDD ;
rendre compréhensif le contenu d’un budget par les services et engager la concertation au sein de la cellule (CDMT) du MEDD, pour la rendre opérationnelle ont été entre autres recommandations issues d’échanges entre le ministère du Budget et celui de l’Environnement et du Développement Durable.

Le MEDD, déterminé à mettre en place de nombreuses réformes pour l’atteinte des résultats.

Les cadres mobilisés ce lundi ont débattu plusieurs sujets axés notamment au suivi des recommandations du précédent conseil de cabinet. La réunion a noté avec satisfaction le niveau de mise en œuvre.
La réunion a fait le point sur l’évaluation des activités inscrites dans le (PAO 2023) et des contrats de performance des directions.
Sous la présidence du Secrétaire général, ce sont six directions (DNPNCC, OGUIB, OGPNRF, FECAN, DNACV, CNCUE) qui ont présenté le niveau d’avancement de leurs activités réalisées et celles en cours.
Des activités telle l’élaboration de la troisième communication traitant les mesures d’adaptation au changement climatique, la validation de la note conceptuelle du biogaz et la disponibilité de trois rapports, pour ne citer que ces points. Le conseil a suggéré aux différentes directions de rédiger des lettres de transmissions desdits rapports.
La dématérialisation des courriers et documents administratifs, un processus de traitement informatisé des courriers avait été largement expliqué par le secrétaire général. Il a été aussi question de la mise en place d’une équipe interne au sein du MEDD pour le déploiement du système préparé par l’analyse nationale de déploiement (AND) et la mise en place du service accueil et information, celui chargé de l’hygiène -santé et autres.
L’encadrement du processus d’exportation du bois de vène a été l’objet d’échange entre les cadres pour plus de précisions enfin de réorganiser le processus.
Pour terminer le conseil, le directeur national des catastrophes et urgence environnementale a informé la réunion de la visite du site de Nongo pour constater l’opérationnalisation des forages qui présenteraient des risques énormes sur l’environnement.
Au nom de madame la ministre, le secrétaire général, Dr Karim, SAMOURA, informera les cadres des nouvelles dispositions en vue d’atteindre les résultats assignés au département à travers son contrat annuel de performance avec la primature.

le MEDDentame le processus de réforme stratégique du réseau guinéen des aires protégées sous l’impulsion de la Ministre.

𝗗𝗲𝘀 𝗿𝗲𝗰𝗼𝗺𝗺𝗮𝗻𝗱𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝘀𝘂𝗶𝘃𝗮𝗻𝘁𝗲𝘀 𝗼𝗻𝘁 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗳𝗮𝗶𝘁𝗲𝘀 𝗮̀ 𝗥𝗶𝗼-𝗧𝗶𝗻𝘁𝗼 𝗦𝗶𝗺𝗳𝗲𝗿 𝗮̀ 𝘀𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿 ;
poursuivre des échanges avec Winning Consortium Simandou (WCS) sur les possibilités d’initier et de conduire des actions de conservation de la biodiversité suivant une approche paysagère qui intègre les forêts classées de Tibe, Bonama, de Pic de Fon, Tetini et Béro ;
appui à l’organisation de l’atelier de restitution et de validation du plan d’aménagement et de gestion de la forêt classée de Pic de Fon ;
apporter une contribution technique et financière au processus d’élaboration des textes d’application du code forestier, du code de l’environnement, et du code de protection de la réglementation de la chasse.
𝗗𝗲𝘀 𝗿𝗲𝗰𝗼𝗺𝗺𝗮𝗻𝗱𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗳𝗼𝗿𝗺𝘂𝗹𝗲́𝗲𝘀 𝗮̀ 𝗹’𝗲𝗻𝗱𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝗟’𝗢𝗚𝗣𝗡𝗥𝗙𝗙
D’intégrer les forêts de pic de fon et Bonama dans le processus de conservation,
exhorter la société Rio Tinto SIMFER d’accélérer l’élaboration de la stratégie de compensation;
partager les documents de gestion en vue d’une lecture coordonnée.
Après une journée de travail le Secrétaire général, Dr Karim SAMOURA a rappelé que les contributions du secteur minier peuvent être cruciales pour la gestion durable du capital naturel de Guinée seulement s’ils sont orientés vers des investissements durables et non vers des actions de courte durée. Il a aussi rassuré que les contributions du secteur minier à la préservation du capital sont stratégiques, à la hauteur des enjeux et que ses efforts soient valorisés.

La ministre Hadja Safiatou DIALLO a reçu une importante délégation de la société minière Rio Tinto Simfer ce mercredi 01 Février 2023 au MEDD.

La délégation était composé de Mark Davies, CEO Global de la Division Development et de la Technologie Charles Zimmerman, Directeur des Projets du groupe Rio Tinto, Geraud Moussarie, Directeur Pays Rio Tinto, Mamadou Kouyaté, Directeur des Relations Externes , Carl Nicolas Directeur hygiène santé et sécurité, Mohamed Talhaoui, Manager des Études d’impacts environnementales.

Cette visite s’inscrivait dans le but de raffermir la collaboration entre Rio Tinto Simfer et le MEED d’une part, et d’autre part dans le cadre de la réalisation du grand projet Simandou qui comprend trois compartiments à savoir: le port , le chemin de fer et les mines.

Les discussions ont d’abord porté sur les niveaux d’exécution des différentes activités que doit réaliser la société minière tout en privilégiant l’environnement et sa biodiversité. Plusieurs autres thèmes étaient au cœur des débats tels que – La stratégie de décarbonisation- Concilier le développement économique avec la protection de l’environnement – Validation des Termes De Référence pour la mise à jour du plan de gestion environnemental et social de la forêt du pic de fond – la contribution de Rio Tinto dans la promotion des énergies renouvelables au niveau national – l’appui de Rio Tinto dans le renforcement des capacités des cadres du MEDD – La collaboration avec la société minière Winning Consortium SIMANDOU qui partage la réalisation du projet avec Rio Tinto. les cadres du MEDD invités à cette rencontre ont également mis l’occasion à profit pour adresser de multiples interrogations aux membres de la délégation de Rio Tinto. Ces questions ont permis aux deux parties de s’accorder sur sur les prochaines étapes à venir. La ministre Hadja Safiatou DIALLO au delà de la sollicitation pour la Formation de ses cadres particulièrement ceux de l’ AGEE , a porté à la connaissance de la délégation les différentes réformes engagées par les autorités du MEDD notamment celles liées à la sécurisation des autorisations environnementale et sociale .

Toutefois , la société minière RIO-TINTO SIMFER, attachée au principe d’une exploitation durable des ressources minières, qui a exprimé son engagement à collaborer avec le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable pour la protection de l’environnement à été féliciter par la MEDD et les cadres présents.

OSS renouvelle son engagement en faveur de la valorisation et de la restauration des écosystèmes en Afrique.

La Journée mondiale des zones humides est célébrée le 2 février de chaque année, en commémoration de la signature de la Convention Ramsar (1971). Outre l’inventaire descriptif qu’elle dresse de la faune et de la flore que les zones humides contiennent, cette convention encourage la mobilisation en vue de leur préservation, compte tenu du rôle de premier plan qu’ils jouent dans le cycle de l’eau.

La déclaration de Wuhan, adoptée en novembre 2022 à l’issue de la COP14 de la Convention Ramsar, a réaffirmé l’urgence de mettre en œuvre cette Convention et de déployer toutes les actions nécessaires pour la préservation et la restauration des zones humides.

Considérées parmi les écosystèmes les plus riches de la planète en termes de biodiversité, les zones humides jouent un rôle crucial dans l’atteinte de certains objectifs du développement durable (ODD) et en fournissent des services écosystémiques inestimables, notamment ceux liés à la sécurité alimentaire, à la sécurité hydrique et à la protection contre les risques
de catastrophes. Elles constituent également une destination importante pour le tourisme
et génèrent des revenus non négligeables pour les économies locales.

Les zones humides sont également très utiles à la survie de nos écosystèmes et dans la lutte contre les effets du changement climatique. Elles constituent une réserve importante
de carbone pour la planète qui aiderait à maintenir le réchauffement mondial bien en dessous de 2°C à l’horizon 2100.

Nonobstant la valeur élevée des services écosystémiques que les zones humides fournissent à l’humanité, elles sont toujours dégradées sous les effets de la pression anthropique, notamment, l’agriculture intensive, l’irrigation, l’extraction de l’eau, l’urbanisation,
le développement industriel, et la pollution.

En 50 ans, l’étendue des zones humides a diminué de 35% dans le monde, un rythme 3 fois plus élevé que celui de la déforestation. Si aucune mesure de conservation n’est prise,
la détérioration toucherait près de 60% de ces zones d’ici 2050, d’où la nécessité de disposer d’outils de surveillance ayant un rôle déterminant dans le maintien et la restauration
des zones humides.

La Comptabilité Ecosystémique du Capital Naturel (CECN) est un de ces outils. EIle a la capacité d’évaluer les avantages potentiels des programmes de restauration des écosystèmes, y compris les zones humides. Elle permet aussi de combler le manque de quantification des écosystèmes de manière opérationnelle afin de contribuer à faire face aux exigences et aux préoccupations internationales relatives à la prise en compte de la biodiversité et des services écosystémiques dans les processus de planification nationale.
L’initiative AFRIKENCA, lancée par l’OSS en collaboration avec les différents partenaires
du projet Copernicea, s’inscrit dans cette dynamique de restauration des écosystèmes et vise à établir dans un premier temps, dans les six pays francophones concernés (Burkina Faso, Guinée-Conakry, Maroc, Niger, Sénégal et Tunisie), un réseau national et régional de partage et d’échange d’informations et de données utiles et nécessaires à la CECN. Elle devrait,
à terme, doter les pays d’un dispositif opérationnel propre et autonome de Comptabilité Ecosystémique du Capital Naturel (CECN).

Engagés en faveur d’une meilleure quantification des écosystèmes à travers la CECN, l’OSS
et ses partenaires contribuent à l’identification de solutions idoines et à la réponse à l’appel à l’action lancé en 2023 par la communauté internationale visant à protéger et à restaurer
les zones humides.

C’est à l’occasion de la journée mondiale des zones humides placée sous le thème « Il est urgent de restaurer les zones humides », que l’OSS lance une vidéo produite dans le cadre du projet Copernicea traitant de la comptabilité écosystémique du capital naturel en Afrique.

Elle vise à permettre aux décideurs et à la société civile de mieux appréhender cette notion
et de connaître la pertinence et les avantages pouvant être générés par la mise en place de
la CECN au service de la restauration des écosystèmes et, notamment, des zones humides.

Pour visionner la vidéo, cliquez sur ce lien : https://youtu.be/-G-0dfP8BTk

Avis de recrutement d’un Expert/e National/e en Genre et Microfinance

Projet Renforcement de la résilience et de capacités d’adaptation des communautés les plus vulnérables au changement climatique en Guinée Forestière.

Veuillez cliquer sur le lien https://www.jaoguinee.com/post.php?t=avis-de-recrutement-d-un-expert-e-national-e-en-genre-et-microfinance-du-projet–renforcement-de-la-resilience-et-de-capacites-d-adaptation-des-communautes-les-plus-vulnerables-au-changement-climatique-en-guinee-forestiere-&id=2201

Avis de recrutement D’un Expert/e National/e en Suivi-évaluation.

Projet Renforcement de la résilience et de capacités d’adaptation des communautés les plus vulnérables au changement climatique en Guinée Forestière.

 

Veuillez cliquer sur le lien https://www.jaoguinee.com/post.php?t=avis-de-recrutement-d-un-expert-e-national-e-en-suivi-evaluation-du-projet–renforcement-de-la-resilience-et-de-capacites-d-adaptation-des-communautes-les-plus-vulnerables-au-changement-climatique-en-guinee-forestiere-&id=2202